Roseau

28/08/05

Que le bruissement des roseaux grêles résonne dans ma chanson plaintive et s’élève avec elle jusqu’à Vos pieds, ô Vous à qui nous devons tous deux la vie ! Ô Vous qui aimez jusqu’au faible langage d’une tige de roseau, ne repoussez pas ma prière : je ne suis moi-même qu’un humble roseau, faible et plaintif.



Guido Gezelle ( Dichtoefeningen )



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