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Paroles
05/07/07
L’ancêtre a tiré de ses cheveux un oiseau de l’avenir , prenez patience, touchez la peau des arbres avec toute la paume à plat, la paume franche, la douleur se blottit dans le ventre sans le griffer, c’est un peu votre enfant à tous, cette douleur, c’est ce que dit l’oiseau et je répète ce qu’il dit en envoyant la fumée de ma pipe dans le ciel.
La plaine sent si bon encore ce matin, et le guerrier s’étire, puis ils se sont parlé avec son cheval. (Guerrier qui a du regard de cheval pour la maison!)
L’oiseau brillant à la si belle gorge s’est blotti à nouveau dans la très vieille chevelure, la fumée a rejoint un nuage qui stagnait en forme de couronne, c’est le jour pour la pensée, elle est juste, elle est pleine de ce soleil, que laisserez-vous à la terre ?
Cette pensée, ma pipe d’os de cerf, une couronne d’herbes tressées pour ne pas oublier le nuage.
C’est un peu notre enfant à tous, cette douleur.
Hélène Sanguinetti
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