Je sens sur mon visage le doux vent de l’âme et ses fraîcheurs. Ami, que ne partages-tu cette douce sensation ? Tu es là, insensible aux volutes nacrées, aux arabesques invisibles, aux parfums enroulés dans les passages du vent. Parfois, on voit le vent sans le sentir, parfois on le sent sans le voir. Parfois aussi, on ne le voit pas ni ne le sent, mais il est là, frémissant doucement dans un pli de lumière…




Arif al-Zeituni



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