L’ombre

07/07/09

L’ombre, avec ses couloirs. Le corps, accoutumé à ses tâtonnements de bête.

Où renaître sans yeux ? Tous les chemins sont morts. Reste le vent qui trace et

qui traverse. D’aussi loin que je peux, je te réponds. Je monte jusqu’à toi, jour

neuf, sous mes écailles.


Claude Esteban

in « Conjoncture du corps et du jardin »

serpent22

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