Le fleuve

26/04/09

Mais la forêt s’ouvre

en bas aux prairies et aux champs,

une route va, toute droite,

l’arbre a abattu l’ombre

à son pied, et contre la montagne

vient s’allonger, respirant les brises,

avec les trains de bois, et la voile le soir,

l’aveugle, le fleuve.


Johannes Bobrowki

in  » Terre d’ombres fleuves « 

fleuve22

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