J’ouvre le livre,

un peu comme

on ouvre une fenêtre

pour découvrir, dès l’aube,

un fragment de paysage.

Après je bénis le jour

Personne ne me voit. Je parle.

Je donne du pain aux morts.

Et je jette les dernières étoiles

au fond du puits

Jacques Josse

in  » Vision claire d’un semblant d’absence au monde « 

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