Pages
Categories
Archives
- novembre 2012
- octobre 2012
- septembre 2012
- février 2012
- janvier 2012
- décembre 2011
- novembre 2011
- octobre 2011
- septembre 2011
- août 2011
- juillet 2011
- juin 2011
- mai 2011
- avril 2011
- mars 2011
- février 2011
- janvier 2011
- décembre 2010
- novembre 2010
- octobre 2010
- septembre 2010
- août 2010
- juillet 2010
- juin 2010
- mai 2010
- avril 2010
- mars 2010
- février 2010
- janvier 2010
- décembre 2009
- novembre 2009
- octobre 2009
- septembre 2009
- août 2009
- juillet 2009
- juin 2009
- mai 2009
- avril 2009
- mars 2009
- février 2009
- janvier 2009
- décembre 2008
- novembre 2008
- octobre 2008
- septembre 2008
- juillet 2008
- juin 2008
- mai 2008
- avril 2008
- mars 2008
- février 2008
- janvier 2008
- décembre 2007
- novembre 2007
- octobre 2007
- septembre 2007
- juillet 2007
- juin 2007
- mai 2007
- avril 2007
- mars 2007
- février 2007
- janvier 2007
- décembre 2006
- novembre 2006
- octobre 2006
- septembre 2006
- août 2006
- juillet 2006
- juin 2006
- mai 2006
- avril 2006
- mars 2006
- février 2006
- janvier 2006
- décembre 2005
- novembre 2005
- octobre 2005
- septembre 2005
- août 2005
- juillet 2005
- juin 2005
- mai 2005
- avril 2005
- mars 2005
- février 2005
- janvier 2005
- décembre 2004
- novembre 2004
- octobre 2004
Meta
Al Hallaj
09/03/05
Irak. An 922. « Ana l-Haqq » ? « Je suis la Vérité »
Hussein Ben Mansour Al Hallaj prononce ces quelques mots qui vont le mener à la mort. Mystique soufi dont les propos dérangent, il est condamné, au nom de l?Islam, à mourir après avoir été exhibé sur le gibet.
Porté en place publique, il est fouetté. Pieds et mains coupés, il est crucifié, décapité , brûlé et ses cendres sont ensuite dispersées et jetées dans le Tigre.
Sa tête fut conservée par la Reine-mère.
Il fallait frapper les esprits et montrer à quoi pouvait mener le désir de se séparer de la communauté et de montrer une autre façon d?adorer Dieu.
« Quelle terre est vide de toi
pour prétendre te chercher au ciel ? »
Les quatre lettres de « Allah » ont enflammé son c?ur. Le « Alif » c’est l’ami ; le « Lam », la proportion entre l’horizontal et le vertical, doublé il exprime le miroir ; et le « Ha », c’est la respiration et l’Unité divine.
Pas de commentaire »
Pas encore de commentaire.
Flux RSS des commentaires de cet article. TrackBack URL