" Le poème redevient soluble dans la poésie, son orient fragile et changeant nous parle sans cesse d’une eau-mère, d’un plasma poétique dont la pulsation l’irrigue et auquel continue de l’unir une vivante consanguinité. Le diamant mallarméen cède la place à la perle des mers. "




Julien Gracq

in " Préférences " – A propos du "Poisson soluble" d’André Breton



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